"Le soleil est dur, les peaux tendres, le temps s’étire à l’infini dans une sorte de continuum qui ne ressemble pas aux heures du quotidien… Que faire de ce temps de vacance de l’esprit ? Rien. Ou presque rien, car le rien est difficile à tenir, on le sait bien.

Lentement j’ai choisi de m’infiltrer dans des interstices de temps “ vacant ” en essayant de capter un peu de l’essence de cet état “ flottant ” si particulier." ...

Extrait du texte de Philippe Pons

Photographies prises avec des appareils jetables, entre deux étés, août 2009 et 2010